L'espion
qui mémé (Titre légèrement détourné d’un film de James Bond : « L’espion qui m’aimait ».)
02 h 32, le 8 mars 2001, à proximité d’une base perdue sur l’île de Kekpar, je jette un dernier coup d’œil dans…. Mon sac à provision pour voir si ma môman n’a pas oublié de mettre mes tartines de choco préféré. OK ! Tout est en ordre je peux nialler… oupssssss….. Je peux y aller. 2 gardes parlent ensemble, Igmar Okanar et Stanislas Durap :
Note de l’auteur : Je pense que je vais peut-être enclencher mon traducteur, parce que le « Kekparoujesuipakantilefeau » est une langue assez compliquée. IGMAR - Et le chien il lui dit que sa braguette était ouverte ! ! ! ! STANISLAS - Hahahhahahhhahhahha ! ! ! ! ! ! ! ! Re-note de l’auteur : oui ça je ne le traduis pas car le rire est universel, n’est-ce pas ? Alors je profite de ce moment de pur humour, pour me glisser à l’intérieur de la base. Non sans mal, j’ai dû arracher les couilles d’Igmar pour les faire manger à Stanislas mais je vous passe les détails car c’est un passage sans queue ni tête. ( Elle est bonne ? Non ! Bon ça va j’ai compris) J’avance discrètement comme à mon habitude, lorsque soudain ! Rien, fausse alerte, je continue mon chemin. Tout à coup, j’entends un garde, je sors mon flingue, je suis prêt à faire feu (oui car il fait froid. Ca va, ça va, ce coup-ci j’arrête vraiment(eau d’ours) désolé, je n’ai pu m’en empêcher(la truite) c’est tout, j’arrête les blagues à 2 balles ! A 1 balle ? Ca vaut même pas 1 malheureux franc. Radins ! ! ! ) Je disais donc que j’étais prêt à faire feu (mmmppff), je presse la gâchette et SPROUCHHH. SPROUCHHH ? ? ? Merde mes tartines au choco que ma maman m’avait préparé avec amour (non ce n’est pas un nouveau personnage ! ! ), il va me le payer. Mais comment faire, je n’ai pas pris mon fusil à la maison, je l’ai oublié sur mon bureau. Mais ! La chance était avec moi, (non celle la non plus ce n’est pas un nouveau personnage) un pingouin passait justement à ce moment là, je l’attrape par les pattes, le fait tournoyer au-dessus de ma tête, et frappe la tête du vilain, ce dernier se met saigner beaucoup beaucoup, je me suis même demander un moment si mon pingouin de combat n’était pas en fait une pingouine de combate…. Euh…. Une pingouine de combat (Oui mais à force de tout mettre au féminin, fallait que ça arrive, j’m’as suis gouré ! !) et si cette pingouine n’avait pas ses règles ! ! Non mais il y avait beaucoup de sang, ça me paraissait quand même énorme pour une seule personne. J’avance, toujours mon « Fighting PINGOUIN tm » à la main, j’entre dans une pièce située sur ma droite, il y fait noir, je cherche désespérément l’interrupteur, en plus d’y faire noir, c’est aussi très petit et en plus y a un imbécile qu’as rien trouvé de mieux que de mettre des balais dans cette pièce. Après ¾ d’heures enfermé dans ce qui finalement se révéla être un placard à balais, je décide de sortir. Armé désormais d’un « Fighting PINGOUIN tm » et d’un « Fighting BALAIS ABROSS tm », je me dirige vers le bureau du chef de cette base. QUELQUES HEURES PLUS TARD. J’étais toujours devant cette porte en train d’essayer de l’ouvrir, quand finalement elle s’ouvrit, non grâce à moi mais au chef de la base qui avait entendu le bruit que je faisais pour essayer d’ouvrir c’te porte de malheur. (Il lui a quand même fallut plusieurs heures pour réagir à tout ce bruit.) Avant de me laisser entre dans le bureau, le chef me fit une remarque très intéressante : « Il faudra qu’à l’avenir vous reteniez que la poignée ce trouve la plupart du temps à droite et que si la porte en est dépourvue, c’est que c’est une porte à battant. » Cette remarque changea à tout jamais ma vie, et me permit de gagner de précieuses heures perdues à tenter d’ouvrir les portes.
Chef - Merci ! Je vous revaudrais ça l’ami !(hahahahaha ! ! ! SALAMI, ça l’ami)
MOI -Allô ? Maman ? Dis tu ne saurais pas pourquoi je dois tuer le chef de la base à proximité de Kekpar ?
Et je fis demi-tour direction la maison. FIN
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