Suite de l’épisode précédent
celui ci
Aspirés dans un tourbillon spatio-temporel, nos héros se retrouvèrent à la belle époque des Gaulois etdes romains, d’Astérix et d’Obèselix.
-Putain,
on est où là ? demanda Magic dans sa grande magnificence-ure.
-Vu
la gueule des ahuris qui nous matent, au temps de Vercingétorix.
-Que
faites vous dans l’enceinte d’Alésia ? Demanda un gros gaulois obèse donc
gras.
-On
est là pour le contrôle fiscal ! Plaisanta Armand.
-Qui
est ce Fils Cale ? fit le vilain gaulois qui devint soudainement gentil vu
la taille de sa massue.
-Fermez
vos gueules connards et amenez nous à votre chef en chantant la chanson des
Shtroumphfs ! ordonna Gaston.
-Pourquoi ?
demanda Magic.
-Pour
qu’ils aient l’air con et que cette chanson soit citée dans les bouquins
d’Histoire-Géo.
-Moi,
je propose qu’on les aide à vaincre César ! dit Armand. J’ai toujours rêvé
de lui enfoncer une claymore dans le pif.
Ils
furent donc menés au chef au son d’une chanson débile. Arrivés chez le Grand
Gaulois, Magic fit :
-Salut,
Ix ! –Tu permet que je t’appelle Ix ?- On est débarqués de chez les
dieux avec notre équipement d’enfer pour t’aider à exploser César.
Vercingétorix
fut vite convaincu ( quoique victorieux et pas si bête ) de l’efficacité de
l’arsenal des compères.
-Maintenant,
buvons ! Et sers nous car, si je t’en Verse un, j’ai tort Ix !
Et
ils insultèrent la SNCF ( train con ).
Puis
ils envoyèrent des dépêches sur toute la ligne du bout de la Gaule, car c’est connu :
y’a dépêche à la ligne au bout de la Gaule ! ( super les jeux de mots,
hein ? )
Pour
plus mieux vaincre l’ennemi qui les assiégeait, ils construirent un Metal-Gear
qu’ils nommèrent Hézoboa. Installé aux commandes du Metal-Gear Hézoboa, Army
n’eut aucun mal à s’entraîner au tir de missiles Stinger sur les Romains qui
décidèrent, au vu du carnage causé par les missiles, qu’il faisait plus beau un
kilomètre plus loin, ce qui permit aux gaulois de préparer l’assaut final.
L’avant
veille de la bataille, il fut décidé que Magic partirait chez les renforts
gaulois qui devaient arriver par derrière lors de la bataille pour leur
enseigner les rudiments du maniement des sangliers-kamikazes ( qui furent dotés de pétard fusées dans
l’anus pour éviter les ralentissements ). Il fut convenu que Gaston sniperait
les cavaliers et piègerait les camps retranchés secondaires Romains pour les
faire exploser quand les armées seraient retranchées dedans et laisser les plus
importants et plus solides à Army et son Metal-Gear Hézoboa.
Enfin,
le jour J arriva ainsi que l’heure H, la minute M et la seconde S et la
bataille commença. Les armées gauloises sortirent d’Alésia et foncèrent sur les
Romains terrorisés par les sangliers kamikazes.
Pris
en sandwich, ils fuirent vers les camps qui leur pétèrent à la gueule. Magic et
Gaston laissèrent à Army le soin de pulvériser les camps fortifiés et
d’exterminer les dernières légions Romaines quand soudain, Jules César partit
en trombe sur son cheval, passant sous les pattes du Metal-Gear Hézoboa,
bientôt talonné par 2 missiles Stinger qui explosèrent sur une colline pas très
loin de lui. Le Metal-Gear s’étant pris les pieds dans un tas de légionnaires
abattus à la mitrailleuse, Army sauta à terre et le poursuivi de son courroux
et de son lance- flammes. Bientôt estropié au M-60, César se rendit compte
qu’il ne pouvait plus marcher en l’absence de son bassin et, se laissa mourir
en boudant, tant il était en colère d’avoir le cerveau criblé de shnarpels et
les bras brûlés. Fiers de cet exploit, les 3 héros décidèrent d’aller violer
quelques femmes à Alésia car dans la
bataille, ils avaient perdu leur poupée gonflable.
Quelque
cris et l’inauguration d’une maison close plus tard, ils partirent à la
recherche d’une porte temporelle pour revenir chez eux. Forts d’une expérience
encore fraîche dans leur mémoire, ils se mirent à danser dans une forêt pour
appeler le portail du temps.
A
nouveau aspirés dans un tourbillon mauve et fleuri, nos amis revinrent dans le
présent du conditionnel. Ils firent leurs adieux aux pieds nickelés pour partir
a la recherche du con qui avait tenté d’attenter à la vie de la base militaire
et qui avait indirectement participé à la destruction de leur poupée gonflable.
Ils fabriquèrent un autre Metal-Gear qu’ils nommèrent Ondin. Une fois grimpés
dedans, ils partirent vers une agence de voyages pour aller en Laponie trouver
le coupable ( les savants fous ont toujours un laboratoire en Laponie ). Une
fois là bas, ils dormirent un peu mais pas la nuit entière car la nuit
Laponnienne dure 3 mois. Equipés de Thermas Goggles, ils irent à la chasse au lutin, chasse qui ne se
pratique pas sans une Kalachnikov. Après un carnage digne des aventures de Joe
Alvarez la patate mexicaine et Waco le Kangourou Tex-Mex, ils comptèrent les
points. Ce fut Gaston qui gagna mais il avait triché : il utilisait un AK-47.
Après
avoir testé la résistance du traîneau du père Noël, du Père Noël puis des
restes des deux aux missiles de Metal-Gear, ils firent un Renne-Ball six, sport
qui se joue avec des fusil de snipe, des flingues à silencieux et des flashbang
grenades dont le but est de marquer le plus de points possibles avec la tête
d’un Renne ( il faut la faire gicler le plus loin possible).
Comme
ils étaient à court de Rennes à cause des mines que Magic semait, ils firent
une bataille de boules de Neige, mais comme Mr. Neige ne possédait que deux
testicules, la guerre prit fin et l’on laissa ce pauvre Mr. Neige désormais
castré seul dans la toundra. Heureusement pour lui, un camion de la croix rouge
passait par là et il fut ramené à titre de cobaye dans un charmant labo où il
reçoit des gouttes d’acide dans les narines.
Comme
leur recherches n’avançaient pas, ils décidèrent de chercher le labo du con qui
avait déclenché tous ces évènements tout en exterminant les dernières bestioles
vivantes. Leurs recherches les mena jusqu’au Québec, ou ils descendirent la
Corriveau ( en effet, Army, qui avait trop bu de whisky volé sur le cadavre
d’un trappeur qui ressemblait à un ours avant d’exploser sous l’effet d’une
décharge de plutonium lancée par Magic, avait cru que c’était sa belle-mère et
l’avait froidement abattue au dessus du fleuve St Laurent ). Ils rencontrèrent
Bryan Addams qui errait dans le désert glacé des forêts et le domestiquèrent
pour qu’il cherche la piste du con qui a fait les trucs du début, que nous
allons appeler Savant fou puisque c’en est un.
Et Bryan, à qui on avait promis un gros nonosse, ne
trouva pas le Savant fou mais Patrick Duffy et Ray Charles. Convaincu que cela
serait très joli, Gaston les attacha les uns aux autres pour leur planter une
claymore dans le cul et les effrayer pour qu’ils aillent malencontreusement
exploser sur l’officier de la Police Montée dont le dernier mot sur terre
fut : Sacré…Bang !Sprotchaaargh ! ce qui
signifiait qu’il était truffé de billes d’acier libérées par l’explosion
de la claymore. Les trois agents furent désolés et tirèrent des salves
d’honneur sur les morceaux de chair éparpillés. Le bon côté des choses c’est qu’ils
trouvèrent un infime indice : une grosse pancarte rose fluo que seul un
oeil exercé pouvait déchiffrer :
Et tous en conclurent que cela devait être une indication, voir une information ou même un renseignement. Alors ils prirent la direction indiquée et tombèrent nez à nez avec une porte blindée. Army fit remarquer qu’il lui restait de la dynamite et qu’il aimait bien faire exploser les trucs en acier. Après être entrés, les héros se demandèrent si ils devaient prendre à droite, à droite ou à droite. Ils choisirent finalement la droite car c’était une direction orientée vers la droite. Mais c’était un piège et tous furent téléportés en plein milieu d’une bataille Galactique dans le futur.
Etant de grands adeptes de Star Cul, ils prirent possession d’une corvette armée d’un canon à photons. Magic trouva un buzzer marqué « mise à feu du canon » et Gaston un piano avec des touches comme « hyperpropulsion » ou bien « freinage » et même un joystick avec des boutons rouges dessus. Après une petite bataille ayant entraîné la destruction de tout le monde, ils se dirent que revenir dans la pièce ou le piège était tendu serait pas une connerie.
Alors ils fabriquèrent une machine à faire des sauts temporels avec les vielles chaussettes qui ne leur servait à rien. Comme il leur manquait un truc compliqué et emmerdant, ils enfoncèrent le CD de Charles Aznavour dans la machine et se téléportèrent dans la salle du piège. Ils passèrent outre et marchèrent cruche vers une salle encore inconnue. Au milieu de cette salle trônait le big boss du niveau : Bill Gates.
Aussitôt le combat s’engagea. Bill leur envoya une licence qu’ils évitèrent de justesse, Magic balance un CD de Linux, Billou réplique par un plantage de Windows, Gaston et Army balancèrent deux add-ons pour Windows et Gates leur fit un procès. Or, le juge était malencontreusement au bout d’un M-60 tenu par Magic qui ne fit pas exprès de tirer, Gaston s’acheta une Playsation et ils achevèrent le boss avec un I-Mac Apple qui pulvérisa tout et propulsa nos héros au fin fond de la Creuse.
End of part 1