The Greatest Story Of Tous Les Temps Rémi à Zombieland *The last cross over of Q.I.* ben vi, nous revoilà Sigma et moi pour un ultime cross-over de génie entre les deux plus grandes équipes de bourrins que le monde n'ait jamais connu. normal, vu la maîtrise de l'art de l'écriture de leurs auteurs respectifs ( j'en fait peut-être un peu trop là...). On passe la présentation des personnages, ultra connus des lecteurs maintenant, mais on va quand même les citer en vrac: Rémi, Julien, Gérard, Marakorn, Koubiak, Wyss, Janclod, Michel. début de la nistoire Marakorn et ses potes se reposaient encore de leur mission contre Azaakh ( voir tgsotlt 1-6). ben oui, parce que si l'idée de départ était de se reposer une semaine en jouant au pc et en glandant puis de retourner à l'école, l'échéance des vacances approchant, nos chers héros avaient décidé de faire un pont de deux semaines en les attendant.... - Chiotte, encore mort! - yep koubiak! je suis le roi du snipe, lança Michel - bon les gars, on fait une pause, ça fait quand même 6 heures qu'on joue là! cette remarque fut accueuillie favorablement par tout le monde, car ils avaient un tantinet les yeux explosés et des tendinites aux poignets. Ils se posèrent donc tous...non, ils se vautrèrent donc tous dans les fauteuils installés devant la télé, et entrprirent d'ouvrir un pack de despé quand en allumant la télé, ils virent un visage familier: Marakorn: Obi-Wan!!! Pendant ce temps, dans une dimension parallèle... Gérard: Ouskonai encore? Rémi: je sais pas, mais à mon avis, si on est là, c'est sans doute parce qu'on a voulu tuer Bill Gates Julien: Ca y est, je me souviens, c'est quand on a voulu le tuer à mains nues, qu'il a enclenché la porte du vaisseau et nous a jeté dehors( voir épisode de fin de Rémi) Rémi: moi aussi je me souviens, la raclure! gérard, regardant au loin: Et qu'est ce qu'on fait maintenat? Devant eux s'étendait une lande désolée, morne, où seuls poussaient deux trois arbustes sans feuilles. Tout autour d'eux semblait mort, il n'y avait pas de vent, et pas un bruit à part le leur ne venait troubler ce lieu. Ils se relevèrent lentement, encore secoués du choc un peu rude de l'aterrissage, et Rémi prit la parole: Putain de merde, on pourrait pas avoir débarqué dans une grande ville remplie de bars, avec une jolie campagne tout autour au bout de laquelle on trouverait le méchant à buter! Parce que y'a forcément un méchant à buter, je suppose. inconnu drapé d'un vêtement tout moche qui ressemble vaguement à une cape à capuche: Effectivement, il y a un méchant à buter. De plus, si vous aviez atterri à 50 km, vous auriez été dans la ville dont vous parlez. Alala ces jeunes, incapables de tomber où il faut... Les trois amis firent volte façe dans un même élan et épaulèrent leurs mitrailleuses, qu'ils avaient conservé ainsi que tout leur équipement pendant la chute: Julien: t'es qui toi? Inconnu etc etc...(enlevant son capuchon): Voyons, vous ne me reconnaissez pas? Gérard: Obi-Wan? Owk: yep! Moi en personne. bon, je prends les devants, ça vous évitera de poser des questions cons. Je suis heureux que vous soyez arrivés ici. Même si la voie est quelque peu différente de celle que j'avais prévu, je ne m'étais pas trompé. Vous avez ici rendez-vous avec votre destin. Cette dimension est la plus importante pour vous parmi toutes celles que vous avez arpenté et que vous arpenterez. Je ne peux pas tout vous révéler pour l'instant, car ce n'est pas mon rôle, mais je peux vous parlez de certaines choses: On appelle cette planète Ilfendath. La plupart des gens sont sympas, et l'on ne vous fera pas de mal, sauf si vous le cherchez. Votre seul adversaire est le maître de cette planète. Et il est TRES puissant. Alizée est une enfant de choeur à côté de lui, et il pourrait pulvériser Azaakh en moins de deux minutes. Il s'est approprié cette terre il y a une centaine d'années, et il vit encore aujourd'hui grâce à sa magie, et bien sûr aux dix fruits et légumes qu'il mange par jour. Rémi: et pourquoi qu'il est méchant lui? Owk: Je vous avais dit que je prenais les devants pour éviter les questions cons! Vous écoutez pas ou quoi? Bon je reprends. Euh...en fait je reprends pas, ce que j'ai le droit de vous dire s'arrête là. Vous apprendrez le reste quand le moment sera venu. Sachez quand même qu'on l'appelle Nocib. Gérard: Chouette...Nous voilà repartis pour un tour..... Julien: Moi je veux bien buter du méchant, mais j'ai pas trop envie de me taper 50 bornes à pattes!!! Owk: No problemo! I commence à danser la macarena, et juste après le mouvement où on met les mains sur ses fesses, Remi est ses collègues disparaissent, puis réapparaissent à la table d'un bar, en pleine ville, une pulpeuse seveuse prête à prendre leur commande. Owk quand à lui resta quelques minutes dans le désert, soucieux: Et voilà, leur destin est en route. Puissent-ils parvenir à temps.... Allez, faut que je trouve les autres maintenant.... ( il se met à rire doucement) Faudra que je le refasse, le coup de la macarena. Il en jette vachement. Alors dans un claquement de doigts, il disparut du désert. Retour chez tgsotlt..... Michel: Ca alors! ben qu'est ce que tu fais là Obi? Owk: Deux secondes, je reviens tout de suite, je m'assurais juste que vous étiez là. La télé s'éteignit alors d'un coup tandis que l'on se mit à sonner à la porte d'entrée. Michel, quelque peu déboussolé, alla ouvrir, et se retrouva nez à nez avec Owk en chair et en os. Michel: O-o-obi wan? J-j-je vous en prie, entrez! Owk: Merci bien! Après quelques explications sur le fait qu'il ait pu venir en chair et en os ( une histoire de maîtrise du temps, de l'espace, et du transport de molécules...ouais, une téléportation quoi), et bien sûr quelques bières, Obi leur exposa la raison de sa présence. Owk: J'ai encore besoin de vous les amis. Marakorn: Encore un super méchant à flinguer? Ca devient lassant à la longue.... Owk: Oui, un super méchant. Mais je vous promets qu'après ça je vous laisserai tranquille à jamais. Michel: Bon, explique nous la situation, après on va réfléchir. Owk: y'a un problème sur une planète parallèle qu'on appelle Ilfendath. La plupart des gens sont sympas, mais y'a un gros méchant qui a pris possession de la planète. Et il est TRES puissant. Alizée est une enfant de choeur à côté de lui, et il pourrait pulvériser Azaakh en moins de deux minutes. Il s'est approprié cette terre il y a une centaine d'années, et il vit encore aujourd'hui grâce à sa magie, et bien sûr aux dix fruits et légumes qu'il mange par jour. On l'appelle Nocib; et personne à part vous ne peut le vaincre. Koubiak: Pourquoi? Owk: Ca j'ai pas le droit de vous le dire. Vous l'apprendrez quand le temps sera venu....C'est fou comme j'ai l'impression de me répéter ces temps-ci, moi....Bon, alors vous en pensez quoi? Wyss, qui est devenu intelligent depuis la dernière aventure, même s'il fait encore des conneries de temps en temps: En gros tu nous proposes d'aller dans une dimension parallèle inconnue dézinguer un méchant ultra puissant dont on ne connaît rien, qui pourrait nous tuer d'un revers de la main, et tout ça sans aucune promesse de retour ni de récompense à part celle d'avoir flingué quelqu'un? Owk: c'est ça. Alors, vous êtes avec moi ou pas? Tous, avec un grand sourire: bien sûr qu'on est avec toi! tant qu'on peut massacrer des gens, on est partants! Owk: Je m'en doutais, bande de barbares. Je vais vous donner quelques objets utiles( il se transforme en angent Q, de James Bond). tout d'abord, -cette laisse en kevlar pour ton hamster, janclod. Ultra résistante, elle s'allonge autant que tu le désires. - gilets pare buffles et pare balles équipés de parachutes pouvant porter deux personnes. je vous en mets un de plus, on sait jamais. - M90 dernière génération. pas encore commercialisé. capacité de 5000 cartouches. je vous en donne que deux, seuls Koubiak et janclod pourront en porter tellement c'est lourd. - M16 de l'armée ricaine améliorés avec un lance grenades et un lance flammes. Fourni avec 50 chargeurs. - 5 packs de despé, la soif pouvant surgir n'importe quand. - Deux jeux de 52 cartes, au cas ou vous en perdriez un. - meule électrique maniaturisée pour affuter vos armes blanches. - Une banane. A l'intérieur est caché un rayon laser pour ouvrir les cadenas récalcitrants. Donc, faites attention en la mangeant. - et pour finir, un Jean Claude Van Damme gonflable pour faire peur. Il possède trois phrases préenregistrées et vous pouvez donc le faire parler en pressant sa main gauche. Bon, je crois que je vous ai tout donné. Il est temps de partir. Ben kenobi se mit à faire du hip hop en chantant du Ntm, sous les yeux admiratifs du petit groupe, et alors qu'il était en pleine danse sur la tête, il claqua des doigts, et les héros se trouvèrent téléportés dans l'autre dimension, à la périphérie d'une grande ville: "let's get the hunt started" lança marakorn en se dirigeant vers la ville. Sur notre bonne vieille terre, Obi se releva: Woaw, c'est encore plus impressionant le coup du hip hop!" Sur cette réflexion supra existentielle comme seul un jedi sait les faire, il se dirigea vers le frigo pour prendre un Orangina. Retrouvons les héros de Remi à Zombiland sur leur terrasse de café... Julien: Moi je voudrais un malibu, Rémi prendra un tequila sunrise, et Gérard une 1664. Serveuse: Ben. je vous amène ça de suite. Rémi, après que la serveuse soit partie: Eh dites, c'est moi ou il est un peu bizarre le type à l'autre table... Gérard: celui habillé en collants bleus avec une cape rouge? Oui il est bizarre. Julien: Je crois qu'il nous a repérés, faisons semblant de pas le voir. Serveuse: Voilà, ça fera 15 zlotis, ou si vous avez pas, 6 euros, ou 5 dollars, ou 15000 yens. Vous pouvez payer aussi avec votre carte bleue, et votre american express. Autre chose, le type en bleu il est un peu con, vaut mieux que vous l'évitiez. rémi: Merci, on avait remarqué. A l'autre bout de la villle, tgsotlt se promenait, admirant les belles autochtones, et les superbes vitrines remplies de pulpeuses mannequines vivantes, de pc surpuissants, et aussi de tracteurs. Marakorn: regarde, un fendt 3000, avec attache-remorque de 1500kilos!!! Janclod: Trop bien, et tu vois ce Massey? il va à 60 km/h à charge pleine! Michel: J'achèterais bien ce Renault argotron moi, il est fourni avec des pneus de rechange! Koubiak: Z'êtes gentils vous, mais faudrait peut-être qu'on pense à notre quête... Marakorn: Dommage, ils étaient cools ces tracteurs...Bon, on traverse la ville et on y va? Wyss: Faudrait déjà savoir où c'est, la demeure du méchant Marakorn: Je pense que l'immense château entouré de nuages sombres qu'on voit au fond doit être sa maison. Retrouvons enore une fois Remi, Julien et Gérard à leur terrasse
de bar ( c'est lourd ces équipes séparées....) Julien: On va procéder comment, pour la charogne de méchant? Gérard: Je penche pour une attaque de front en l'arrosant à la mitrailleuse... Voix pas loin: Non, Ben nous a dit qu'il était fort, il faudra paut-être réfléchir! Rémi et ses potes se retournèrent instantanément et se trouvèrent alors nez à ez avec tgsotlt ( ouf, fini les séparations de groupe): Ben qu'est ce que vous faites là? On vous croyait tranquilles chez vous? koubiak:
Et vous? Vous aviez pas trouvé le moyen de rentrer chez vous ? -Alors
d’abord c nous qu’avons posé la question en premier !!!!!!!! -Ok,
cool Rémi !! fit Marakorn. En fait nous c’est Obi-Wan Kenobi qui nous
est apparu, comme pour l’affaire d’Azaakh. -Nous
aussi ! fit Gérard. Mais… -Non, il est d’abord apparu à nous !!! -Tiens, vous l’avez toujours pas noyez
celui-là ? fit Julien en s’approchant subrepticement de Wyss. Vous avez
raison, il faut toujours pouvoir se défouler ! » Après une magistrale baffe, Julien se tourna vers
les autres : « -Heureux de vous revoir en tout cas! Donc on
disait qu’Obi Wan, nous était apparu pour nous demander de dézinguer encore
un pauvre type… Ce serait pas vous à tout hasard le pauvre type ? -Ben… à part Wyss, non ça peut pas être nous vu
qu’on est pas des pov’types. fit Janclod. Nous notre cible s’appelle Nocib. -C’est rigolo, ça fait Bicon à
l’envers ! » Après avoir copieusement tabassé Wyss, la
conversation repris, une fois encore (toutes ces reprises, c’est pas très
orginales !! Reprise, originale… désolé). « -Nous
aussi c’est comme ça qui s’appelle ! s’exclama Rémi. Bon, mais alors on
commence par quoi ?? -L’information est le nerf de la guerre, fit Gérard.
On à qu’à demander à un des autochtones des infos sur le méchant. » Aussitôt dit, aussitôt fait : Koubiak saisi le
premier civil venu par le col, et lui demande les infos sur le château qu’on
voit à l’horizon. Mais la personne ne semble pas comprendre : « Quel château ?? Y a qu’une usine
désaffectée dans cette direction ! » Après quelques baffes d’encouragement, le tiers
(oui, c’est un terme juridique, pas une insulte) maintint ses dires. « -Ben merde, ils sont aveugles ici, ou
quoi ?? -Peut-être que cela à quelque chose à voir avec les
grosses boites vissées sur leur têtes ? » Vaguement honteux de voir que Wyss était plus
observateur qu’eux, la bande entière se mit à le piétiner avec
acharnement.Wyss se jura intérieurement de ne jamais plus avoir d’éclair de
génie. « -Si ça se trouve, réfléchit tout haut Gérard,
c’est un implant neuronal directement branché sur leur cerveau pour faire
occulter le château à tout ces pauvres gens. Il va sans dire que pour ôter ce
boitier, il faudrait au moins une opération chirurgicale très délicate, sans
quoi les dégâts aux lobes cérébraux pourraient bien être
irrémédiables !! -Ah ouais ?? » Michel regarda Janclod. Ils s’étaient tous les deux
acharnés sur le pauvre civil, et avait finalement réussi à lui enlever la
boîte. Ormis le fait qu’on pouvait maintenant observer les lobes du sujet, il
n’avait eu aucune réaction négative. Puis l’homme se mit à déblatérer : « Le conseil d’administration est un organe
déterminé par l’assemblée générale des actionnaires, il s’agit d’une
compétence… » Une détonation sonore acheva le discours de
l’hérétique. L’air déterminé, Rémi dit : « -T’as raison Gérard, ils deviennent cinglés
(et juristes) quand on leur enlèvent leur boîtes ! En soi c’est déjà une
menace immense : imaginez
s’il y a une panne générale de boitier, on se retrouve avec toute une
ville de tarés. On pourrait peut-être commencer à éliminer cette
menace ?? -Non, trancha Marakorn !! Ca pourrait être une
diversion de Nocib, et d’ailleurs c’est lui notre objectif principal. » Poudim, poudam, nos héros prennent
gaiement le chemin du mystérieux château. Les concours de pets succèdent aux
concours de rots, et c’est dans cette ambiance bonne enfant qu’ils arrivent
devant ce qui semble être l’entrée… «
Merde, il se fout de nous le Nocib !! » Sur
la grande porte massive était inscrit en grosses lettres rouges : USINE DESAFFECTEE Supposant
que le message était seulement destinés aux pauvres êtres cablés de la ville
d’à côté, les 7 mercenaires + Wyss se mirent à chercher un accès. A première
vue, l’accès principal se faisait par la grande porte, sans doute un
pont-levis. Mais le pont était remonté. Aucune prise pour escalader le mur de
20 mètres, aucune entrée de service… Soudain, alors qu’il pissait sur un
buisson, Koubiak entendit un gémissement. Après avoir regardé dans toute les
directions, il s’aperçu que c’était du buisson même que venait le bruit. Avec
les précautions d’usage (une grenade flash et le traditionnel « bouge
pas enculé !! »), il se saisit de sa proie : un homme en guenille,
toute humide de pisse et très mal amoché par ailleurs… L’homme se mit à
délirer. « Non,
arrêtez !! Vous avez pas le droit… c’est contraire à la charte Qienne…
bandes d’enculés…adorateur de Razmokets… » Enfin,
l’être paru se réveiller. Il dévisagea d’abord Koubiak avec effroi, puis les
autres qui s’étaient rassemblés. Puis il s’exclama : « …uia !
Enfin vous voilà arrivés ! Sig et Mara ont réussis… » Essayant
de se relever, il s’étala de tout son long (pas très long justement ) sur la
route goudronnée. A bout de force il tendit le bras vers le buisson d’où il
était apparu : « …
y a un passage là. Ils sont enfermés dans… des cachots. » Puis
il sombra dans la conscience, en ronflant comme un ours. Ne
cherchant pas à comprendre, le groupe se dirigea vers l’arbuste. En effet, il
cachait l’accès d’une échelle qui s’enfonçait profondément sous terre.
Sans hésiter (mais après l’envoi
de quelques grenades à fragmentation quand même), ils descendirent l’échelle,
pour se retrouver sous terre. Une porte devait faire face à l’échelle, mais
les grandes préventives l’avaient envoyés se coller à a paroi opposée. On
pouvait lire sur la porte « Placard à balai ». Avançant
précautionneusement, ils se retrouvèrent dans un couloir éclairés par
quelques torches accrochées aux murs. Soudain, un bruit de pas les fit
sursauter… Alors qu’ils essayaient désespérément de tous se cacher derrière
une colonne aussi mince que Wyss, Janclod s’interrogea : « -Mais
pourquoi on se planque alors qu’on est sur-armé ?? -C’est
vrai ça, fit Julien. Après tout y a qu’à taper. » L’approche
changea donc : tout le monde se mit à courir vers les bruits de pas.
Enfin, au détour d’un couloir (les parois de terre devaient faire écho) ils
se retrouvèrent nez à nez avec un tiers. Comme les gens de la ville, il avait
une boite insérée sur la tête, mais bien plus grosse. D’ailleurs elle était
disposé avec plusieurs tiges d’acier relié aux oreilles pour ne pas tomber,
et le tout formait un espèce de chapeau très ridicule. Néammoins, le tout
était peint d’une couleur rouge sang pour être en harmonie avec la tunique.
Le regard absent, l’individu se précipita vers eux, les menaçant d’une
hallebarde. Le premier coup de Marakorn trancha le boitier en deux, et
l’homme s’écroula sans plus attendre. « -C’est
tout ?? -Putain,
l’endurance de merde ! se plaignit encore Michel. -Méfiez-vous,
fit Gérard. Leur boitier peut très bien leur permettre de communiquer entre
eux sans avoir à parler : il se peut que celui-ci est prévenu les
autres… » Continuant
donc leur route dans les labyrinthesques souterrains, le groupe arriva
bientôt dans une grande pièce. « -Génial,
de la bouffe ! s’exclama Wyss en se jetant sur l’une des tables
installées là. -Génial,
des gardes !! hurla Marakorn quand il vit plusieurs tuniques rouges se jeter
sur Wyss. » Quelques
cris de guerre et coups de haches plus tard, les gardes gisaient inanimés,
leur boitier en plus ou moins mauvais état. Janclod avait pû tester son
lance-grenade M-90, et son jugement était sans appel : il faisait un
super-gourdin !! Néammoins
il restait un problème… « -Putain,
on voit rien avec leurs tuniques ! On sait jamais si ils saignent ou
pas, alors on est obligé de taper deux fois ! -Tu
sais, koubiak… -Oui,
Rémi ? -Tu
est cruel. -Merci. -Je
pense que c’était la salle de garde. On doit pas être loin des cachots dont
nous à parler le romano dehors. -Tiens,
là !! Regarde… » En
effet, Michel venait d’ouvrir un placard où s’alignaient des rangées de clefs
numérotées. « Au
boulot ! » Plusieurs heures plus tard…. « Alors, faisons les comptes. » Le groupe avait ouvert environ une centaine de portes, et le
résultat était bien décevant : quatre ou cinq gardes en patrouille
(Janclod avait enfin pû tester son Janclod gonflable, mais un garde l’avait
tranché de sa hallebarde. Très triste, Janclod avait alors tranché le garde
avec son hamster) , trois gardes endormis, un épagneul breton, une chanteuse
québecqoise, une colonie de fourmis et quatre clodos. Après avoir abattu
l’épagneul (c’est déjà con les chiens, mais alors les chiens bretons…) et la
chanteuse, ils se mirent à réveiller les 4 personnes en haillons par un
délicat seau d’eau froide. « Ouah , putain, enculé !!!!! » Telle fut la réaction de l’un d’entre eux. Mais comme toujours,
la vision de Koubiak apaisa son esprit… « -Euh… bonjour. Moi c’est Aelidnel -Eli quoi ?? -Ben vous pouvez appelez Aeron si vous voulez. En tout cas merci
de nous avoir délivré. » » Les trois autres se présentèrent à leur tour. Seul le premier
avait un nom ridicule, les autres se prénommaient Ash , KikoO et Fox Furby.
Ils expliquèrent qu’un beau matin, ils s’étaient réveillés dans leur cachot
sans comprendre comment, et qu’un vieux méchant l’est avais torturés en oubliant
de leur poser des questions. « Ouais, et il doit encore avoir Mmonster !! Il faut
aller délivrer Monster ! » Rémi regarda le dénommé Ash : « Tu veut aller délivrer un monstre ? T’est sûr de
toi ou c’est le cachot qui t’a rendu con ? » La tension monta soudain d’un cran, mais KikoO intervint à
temps : « Non, Mmonster c’est une copine à nous. En fait, on est
tous des auteurs de Q.I., et ça doit être pour ça qu’on s’est fait enlevés.
Et si c’est ça, le grand méchant neuneu… -Nocib, intervint Marakorn -Ouais, enfin Neuneu quoi il doit avoir emprisonné également les
autres auteurs ! -On à croisé un clodo tout dégueux dehors, c’est pas… ? -Scandisk !! Il à réussi à s’échapper ! -Par contre pour ce qui est de survivre… -Mais non, ça c’est une tactique à lui : il fait le mort
pour éviter les coups, dit Fox. -Et tu crois que ça marche pour les ours ? Parce que dans
le coin il y en à pas mal… -Euh… je sais pas, gars-au-nom-bizarre, je sais pas… » Un rugissement étouffé mais très féroce leur parvint de l’extérieur.
« -Comme tu disais… -Mais… vous vous rendez compte !! On est à pleins de mètres
sous terre et on à entendu l’ours !! fit Gérard. -Et alors ? -Et ben c’est que doit y avoir un passage vers
l’extérieur ! » Tous suivirent alors Janclod dont l’ouïe fine lui avait indiqué
la direction du bruit. Au bout de quelques minutes. Janclod s’arrêta. « Je sais plus. » Le temps de réaliser qu’ils étaient perdus et Rémi se mit à
fondre en larmes. « Meuuuh… j’en ai marre ! » Une fois ces larmes épuisés, il se releva. « Bon, on cherche cette putain de sortie ou
quoi ? » Un poil interloquée, les autres le suivirent. Prenant soin de ne
pas se séparer, ils arpentèrent
les souterrains, qui devenaient de plus en plus éclairés. Finalement, ils
aboutirent à un escalier taillé dans de la roche. Un garde eu juste le temps
de les voir avant de se faire sniper par trois personnes différentes, y
compris Marakorn et sa hache. L’escalier menait à une petite porte rouge, qui
les mena elle-même dans une salle de garde similaire à la précédente. Bref,
des gardes et des armes. Une fois le ménage fait (mais la serpillière n’était
pas encore passée), le petit groupe démbula dans ce qui semblait être
l’intérieur du château. Partout des tapisseries rouge cachaient les murs,
comme au Moyen-Age. En prenant toujours les escaliers les plus hauts, ils
s’enfonçèrent dans la batisse de roc… Ils croisèrent bientôt des personnes à la tunique jaune, et au
boitier cérébral différents. Après en avoir écharpés plusieurs, ils se
rendirent compte qu’en fait ces gens-là les ignoraient. Gérard émis son
opinion : « Ca doit être les esclaves de service, alors leurs
boitiers les empêche d’être détournés de leur tâches, et ils font pas
attention à nous… » Fort de cette explication qui en valait bien une autre, le groupe
poursuivis son chemin, non sans avoir auparavant brutaliser Wyss qui, trop
content de trouver des adversaires à sa taille, s’acharnait sur les pauvres
hères tout de jaune vétus. Enfin, le groupe arriva dans une salle du trône. Des cris accueillirent leur entrée. C’était une bonne dizaine de
personnes enchainées au trône qui les acclamaient. Sur le trône par contre,
un petit bonhomme tout gros et difforme, avec une infâme couronne en fer sur
la tête les toisaient avec mépris. « Et ben, c’est pas trop tôt !! Ca fait une
demi-journée que je fais le pied de grue à vous attendre !! Je suis
Nocib, Seigneur du royaume
d’Ilfendath, et bourreau de vos pauvres âmes ! Gardes,
exécutez-les !! » Sur ce, une trentaine de gardes peint en marron (sûrement une
garde d’élite, selon Gérard) envahirent la pièce et chargèrent le groupe avec
des hallebardes-double, comme le sabre-laser de Darth Maul. Comme de juste,
le massacre eu lieu : les gardes se retrouvèrent avec leurs hallebardes
dans des endroits divers et variés, mais toujours de façon douloureuse.
Durant le combat, Marakorn et Koubiak en avait profités pour s’approcher du
trône et sectionner les liens en fer retenant les inconnus au trône. Même le
hamster de Janclod, bien qu’un peu gêné par sa veste en Kevlar, s’attaqua aux
maillons en acier. Une fois les gardes réduits à l’impuissance (le dernier
s’éloigna à cloche-pied, sa hallebarde dépassant de son postérieur. Michel
l’enflamma de son lance-flamme pour rire un peu), le face à face repris
tandis que Wyss ramassaient tous les boitiers cérébraux marrons pour sa
collection. Maintenant face à une vrai petite foule composée des deux
épuipes et de l’ensemble des auteurs Q.I. libérés (l’ensemble ?? Non,
car une petite bourgarde résiste encore et toujours à l’envahisseur.. Oups,
sorry.), Nocib ne faisait plus le fier. « Euh… En fait c’était juste pour tester vos
défenses ! Ma vraie arme secrète s’est… » Mais Nocib n’eut pas le temps de finir, comme Julien sautait déjà
sur le trône pour le soulever par le col et le secouer. « -MAIS -- T’AS -- PAS -- FINI – DE – FAIRE --
CHIER ???? -Aahhh… Arrêtez !!! Sinon je vous fais tous
disparaître !! -On aimerais bien vois ça, fit Koubiak. -Regardez en haut !! » Tous regardèrent. Deux cages étaient suspendus au lointain
plafond. Deux personnes y étaient enfermés : « ET BEN C’EST PAS TROP TOT POUR NOUS
REMARQUER!!!!!!! » Bien que le ton dénotait un hurlement, la distance atténuait le
son. « -Sachez, immondes cafards, repris Nocib, que ces deux
personnes sont vos auteurs… Ce sont eux qui vous ont créés, et qui vous ont
appelés, mais leur rébellion n’aura servis à rien !! Car il me suffit
d’appuyer sur ce bouton pour envoyer leurs cages s’écraser au sol comme une
merde !!! Et oui, bande d’inconscient, vous n’êtes qu’une bande
d’illusions, créés seulement à partir de papiers et de crayons !! -Rascal !!!, fit Marakorn. Tu nous apprends ça et tu prends
nos existences en otages sans nous laisser la moindre chance de se défendre,
à l’Israëlienne !! Mais qu’as-tu donc à y gagner ? -J’avais déjà prévenu votre chef Scandisk, mais il n’à pas voulu céder !! JE VEUX ETRE
PUBLIE A Q.I. !!!!!! -Quoi, c’est juste pour ça ? fit KikoO. Mais y a pas un
moyen de s’arranger à l’amiable ? » Les gros yeux bouffis et fourbes de Nocib s’allumèrent d’une
lueur d’espoir : « Mais je demande que ça, moi !! Regardez, regardez,
ils sont pourtant beaux mes textes ! » Et Nocib de fourrer entre les mains de KikoO une liasse de
feuilles. Fox Furby lisant par-dessus son épaule, les deux auteurs lirent les
titres à hautes voix: « Pourquoi j’aime Alizée. », « Rock
Voisine ou la Star Canadienne dans toute sa splendeur », « Lorie,
ma meilleure amie »… Le détermination de tout le monde n’en fut que renforcé : « -PAS DE NEGOCIATION !!! -Dans ce cas, sachez que je dispose d’une machine diabolique qui
ne fera rien de moins que de retenir vos âmes !!! Vous pourrez mourir,
de mes mains ou seulement de vieillesse, et jamais vous ne rejoindrez le
paradis des auteurs, tous autant que vous êtes !!! -C’est ça, c’est ça, et la marmotte elle met le papier d’alu
dans le chocolat !! fit Rémi, mort de rire. -Sombre inconscient, tu crois que je bluffe ! J’ai pourtant
des preuves on ne peut plus concrètes ! A moins que vous ayez déjà oubliez
des noms comme Akira ou Slipknot… -Quoi ?? fit Sir Yakko au milieu de la foule. Mais t’as
vraiment aucune conscience de faire chier les auteurs morts, comme ça !! -NON !! Et je l’ai retiendrai tant qu’il faudra !!
D’ailleurs si vous me tuez, jamais vous ne retrouverez la machine pour
libérez vos camarades !! -AAAH, JE VOIS QUE J’ARRIVE A TEMPS !!! fit soudain une
voix tonitruante. ME VOICI :
SUPERMAAAAANNNN !!!» Une ombre bleue traversa le plafond de la pièce à toute vitesse
vers Nocib, pour louper celui-ci de deu ou trois mètres en hauteur et aller
s’écraser dans le mur du fond. L’homme en combinaison bleue et cape rouge
s’écroula en entrainant avec lui le rideau rouge, qui dévoilà alors une
machine énorme et apparemment très complexe. « -Oups, fit Nocib, il à découvert ma cachette secrète. -Mais je le reconnais, fit Julien, c’est le gars en bleu de la
terrasse ! -Ah ouais, fit Rémi, je croyais que c’était un plombier ou un
truc dans le genre… en fait c’est Superman. Trop cool ! -Enfin c’est ce qui reste de Supeman, plutôt. Intervint Sir
Ersatz. En tout cas il à trouvé la machine. » Ils s’approchèrent tous de la machine, pendant que Koubiak et
Julien surveillaient Nocib. Avec des tuyaux partout et un espèce de grand
réservoir, elle rappelait un alambic géant à Despérado. Mais Ash trouva bien
vite le panneau de commande : il était seulement constitué de deux gros
boutons ON et OFF. Poussant ce dernier, Ash vit les lumiètes de la machine
clignoter, puis s’éteindre. Il se tournait vers les autres tout content,
quand la machine repris vit. De son côté, Nocib exultait : « Aaah, je vous ais bien eu !!! Y a un générateur de
secours, mieux que Terminator !!! -Ah oui tiens, fit Rémi, il y a le cable d’alimentation qui
passe par là ! Tu me passe la banane d’ObiWan Janclod ? -Bien sûr. » Se servant de la banane comme d’un pistolet, Rémi appuya sur le
bout inférieur. De l’appendice phallusien jaillit un rayon laser rouge qui,
dès qu’il toucha le tuyau en question, déchira net l’acier. Dans une grande
explosion (enfin pas trop quand même sinon tout le monde meurt…), la machine
s’éteignit enfin. Tout le monde distingua nettement des ombres en sortir pour
se précipiter vers Nocib. Julien et Koubiak l’ayant lâché sous le coup de
l’étonnement, celui-ci se mit à courir à toutes jambes en hurlant. Il se jeta
finalement par la première fenêtre venue et c’est en cherchant que à le
rattraper que Julien se rendit compte qu’ils étaient au plus haut de la plus
haute tour. Un petit « poc ! » lui parvint d’en bas. Se retournant vers les autres, il vit les spectres. Ils
planaient, tout gris, au-dessus de la foule. Ils firent des gestes de la main
, sans doute en remerciement, puis traversèrent le plafond… Ce fut le moment que choisit Superman pour se réveiller. Se
grattant la tête, il regarda autour de lui. « Et bien !! Il était temps que j’intervienne !
Ce diabolique Nocib est sans doute partit pleurer chez sa mère à l’heure
qu’il est… » Mais tout le monde se désinteressa de lui, à part peut-être
Mmonster… Faisant descendre les deux auteurs enfermés dans leur cage, les
autres faisaient éclater leur joie. Quand enfin Marakorn (l’auteur) et Sigma
se retrouvèrent faces à leurs créations, le silence s’installa. « -Ainsi donc, vous voilà devenu réalité, commença Marakorn
(l’auteur). Ben ça ça me trou le cul !! -Ouais, renchérit Sigma… Pourtant j’imaginais pas Gérard roux
avec autant de points de rousseurs. J’aurais dû soigner mes descriptions… -Euh… fit Wyss, moi j’ai quand même quelques questions pour toi,
ô grand génial créateur… On pourrait pas se voir seul à seul ?? -Pourquoi pas… ? » Mais Marakorn (l’auteur) ne s’était même pas éloigné de quelques
pas que Wyss lui sautait dessus en tapant et en hurlant : « POURQUOI C’EST TOUJOURS MOI LE
BOUC-EMISSAIRE !!!??? » Koubiak et Michel ne furent pas trop pour arracher le petit
furieux à Marakorn (l’auteur. Sisi !). Plus calme, Rémi pris Sigma à part : « Dis-donc, t’aurais pas pû nous mettre plus de filles,
quand même ? Bon, je sais bien qu’on avait Camelia, et puis la fille du
début, là, qu’écoutait Céline Dion… M’enfin elles sont mortes toutes les
deux : on est pas nécrophile quand même ! Hein, dis, c’est
vrai : tu nous à pas fait nécrophile quand même ?? -Non, je t’assure, t’inquiète pas !! Pour les filles, c’est
noter, je te promets de faire des efforts. -Alors pour moi une belle blonde d’1m70 au moins, tu vois un peu
style Cameron Diaz mais avec des cheveux plus long et plus de… -Arrête de rêver Julien, t’auras ce que je te donnes un point
c’est tout ! » Au milieu de ces explications et de ces réglements de compte,
apparut Obi Wan, toujours dans sa cape de moine. « -Bien, bien, je vois que vous êtes toujours aussi
efficace !! fit-il en s’approchant de Marakorn et de Rémi. Et j’ai comme l’impression que vous
avez pas eu beaucoup besoin de mes renforts je me trompe ?? -Le naze en collant ? fit Michel Il s’est pris un mur et
s’est écroulé, mais il n’à quand même éviter de pousser un rideau pour
trouver la mcahine… -Ah, ces Américains… je l’avais pris à l’essai, mais je suis pas
sûr de la garder, lui. Enfin… Bon, c’est pas tout ça, mais faut que je vous
ramène tous chez vous maintenant que le danger est écarté ! » Avant toutes protestations, Obi Wan jeta sa cape au loin pour
dévoiler un superbe costume vert fluo, constitué d’un T-Shirt
« no-future », un caleçon dépassant d’un bermuda trop grand et des
Nikes oranges. Sans oublier une chaîne en or qui brille. Puis il se mit à
chanter : « O-B-I-W-A-N, mon nom à moi c’est Obi-Wan, ouais tu l’à
deviné ! » Après quelques pas de danse, il sauta pour terminer en grand écart
et claqua des mains au-dessus de sa tête. Alors toute le monde disparu, même
Mmonster accrochée à Superman et Ash accrochée à Mmonster. Et même Scandisk,
toujours en train de se battre avec un ours attiré par l’odeur de lapisse de
Koubiak. Resté seul dans la grande salle du trône, Obi-Wan se releva : « Trop cool Benny B, j’adore… Putain, faut que je monte un
spectacle perso fissa, je sens que je vais me faire des couilles en or, ça va
être tout de suite plus rentable que cette connerie d’intérim pour
Jedi ! A merde, j’ai faillis oublié…» Obi Wan claqua des doigts, et à des milliers de kilomètres de
là, Rémi tomba dans un trou. Enfin, Obi Wan disparu à son tour, abandonnant sa cape
millénaire et les scorpions qui allaient avec…. FIN
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